J'ai trouvé un site Américain où j'ai posé la question (lien donn é à la fin). Une réponse satisfaisante a été donnée. Elle ne fa it naturellement intervenir aucune tension de déchet et pas non plus le f ait que l'amplificateur est ou n'est pas "rail to rail". Elle indique donc, comme je l'ai dit, que le montage doit en toute logique fonctionner et ell e précise que si il ne le fait pas cela est induit par une limite sur le courant que le circuit peut absorber ou produire à basse tension de sorti e (12 µA à 200 mV d'après la documentation, ce qui est bien inférie ur effectivement à ce que mon montage demandait).
Il est donc précisé, en toute cohérence, qu'il faudrait augmenter la valeur des résistances pour limiter ce courant. J'avais mis des 2.5k ce q ui est assez faible, il est vrai, et je n'avais pas pensé à cela.
En résumé:
1- Le LM358 a été construit pour descendre proche de la référence d es potentiels. Sa documentation indique quelques mV comme limite (Vol_min). Et ceci qu'il soit "rail to rail" complètement, ou pas du tout.
2- Conséquemment il devait fonctionner en soustracteur et produire toutes les tensions positives de sortie supérieures à Vol_min demandées par la fonction soustraction, cela en étant alimenté en 0v-12v. Ce qu'il n e faisait pas.
3- Le circuit, à priori en défaut, ne l'est pas. La documentation indiq ue effectivement que si il sait descendre à quelques mV de GND il ne peut le faire qu'à la condition de ne générer ou absorber que de très f aibles courants. Il n'est donc pas en défaut.
La conclusion est donc la suivante : Il faut penser, dans ce genre de monta ge à limiter les courants de rétroaction. Le circuit ne souffre d'aucun e tension de déchet d'ordre de 620 mV si ces précautions sont prises.
J'espère que cela pourra aider. En tous cas pour moi le sujet est clos.
Cdlt.
Michel
REPONSE DONNEE ICI :
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