Limitation d'intensité

Gauloisjesuis vient de nous annoncer :

oui, il faut cependant à minima ajouter une résistance sur la base du

2222 sans quoi il peut dégager sur un di/dt trop brutal comme un cc franc, et de préférence une sur le collecteur aussi.

Ceci dit ce type de limitation linéaire, si elle protège en courant, est catastrophique coté puissance dissipée dans le composant aussi si elle est utilisée en puissance ce n'est que pour des durées très brèves, le temps de déclancher une autre sécurité plus globale qui va couper coté logique par exemple.

ça ne peut qu'osciller étant donné que le 4424 introduit une hystérésis pour éviter de travailler en linéaire, mais pour la raison précédement évoqué c'est parfois un comportement préférable si on veut limiter durablement l'intensitée, accompagné de queques composant pour limiter la fréquence de commutation et lisser le courant dans la charge, afin de réguler à Imax tout en évitant le passage en linéaire du mosfet.

A+

Le 07/01/2023 à 17:23, Olivier B. a écrit :

Oui c'est bien le problème de ce genre de régulation, mais si je fais le bilan, je lâche 640mV sur R1 pour fixer ID à 2A, la dissipation dans R1 ne sera que de 1.3W et comme je peux ajuster la tension d'alim je peux m'arranger pour ne laisser que un ou deux volts VDS , au pire il va dissiper 4W, total je perd 5W et comme il pilote une charge de 100W le rendement ne sera pas aussi mauvais que ça

Oui il comporte un étage trigger de Schmitt

mais pour la raison précédement

Petite contrainte c'est que le mosfet doit travailler en impulsion, 2A /

40V / 10 ms, c'est pour cette raison que j'utilise le TC4424 ou 4420, autrement j'aurais drivé la grille avec du bipolaire. j'ai commandé des composants chez Ali, mais faut le temps que ça arrive :-) J'avais commencé à travailler sur le timing de commutation avec des composant au caractéristiques approchées.

Pour la petite histoire, mais c'est HS :-)

J'ai été stoppé dans ma manip de mesures car j'ai eu la bonne idée de mettre le pied sur un restant de clôture, une des tige en ferraille diamètre 4mm m'a traversé la semelle et la chaussette et a pénétré dans la voûte plantaire sur plus de 3 cm. Je peux te dire que ce n'est vraiment pas le moment d'avoir des problèmes de santé avec l’hôpital :-(( Il m'était impossible de poser le pied par terre, à plus forte raison de conduire, J'appelle les urgences réponse appelez le samu, j'appelle le samu réponse appelez votre médecin traitant, je l'appelle, merde il est en grève, j'appelle alors les pompiers qui me disent appelez le samu... cherchez l'erreur. Dans l'impossibilité de conduire je demande à mon voisin de m’emmener aux urgences, deux heures passent pendant lesquelles je déguste un max, parce que, ces héros dans les films qui prennent une balle de fusil dans le ventre, un poignard dans le cuisse une hache dans le dos un coup de barre à mine sur la nuque et qui courent après le méchant pour lui mettre une avoine, ben c'est du faux :-) donc une infirmière se pointe, elle prend deux photos avec son portable de mon pied enflé et violacé pour aller les montrer à un toubib que je n'ai d'ailleurs même pas vu, elle revient: "le docteur a dit qu'on aller pas vous hospitalisé pour ça, je lui fais quand remarqué que je ne peux même pas marcher et que c'est très douloureux, réponse de la dame allez à la ville d'à côté il y a une maison de la santé, au revoir monsieur. Je rappel mon voisin qui revient pour le coup avec une paire de béquilles et qui m’emmène dans cette maison de la santé adossée à une clinique, j'entre, putain, c'est la cour des miracles une bonne quarantaine de personne dans la salle d'attente, enfin dans le hall d'entrée, pas de place assise je fais comme d'autres je m'assois par terre et j'attends au bout de deux heures on vient me chercher pour la radio, c'est fait, au bout de trois minute on vient me chercher pour payer la radio :-) c'est fait et je retourne en salle d'attente et 6h40 plus tard, on est plus que quatre, ça parait tout vide :-) on m'appelle, je rentre dans le box, le toubib arrive dix minutes plus tard, regarde mon pied et me dit :" Oh ! c'est pas beau ça, mais pourquoi vous n'avez pas été aux urgences ?" Un grand moment de solitude, je ne savais pas si je devais rire ou pleurer, l'envie du coup de boule m'a bien un moment traversé l'esprit, mais bon quand même :-), je lui dit que c'est eux qui m'ont envoyé chez lui. je lui demande alors de commenter les radios que j'ai payé 68 balles quand même, il me dit que ça ne sert pas à grand chose il aurait fallu faire une écho ?? coup de boule... toujours pas :-) je fini par avoir son diagnostique :" c'est infecté, mise sous antibiotique, et si au bout de trois jours ça n'a pas évolué, il faudra retourner aux urgences pour ouvrir". je ne l'ai pas vu plus de 4 minutes mais ça a suffit à me plomber le moral. j'attends dans le box, l'infirmière revient et me dit:"vous pouvez partir", et de lui répondre comme ça avec mon pied qui saigne et sans même un pansement ? elle fini par désinfecter et mettre un pansement, j'avale deux doses d'antibiotiques et je sors du box, et devinez, deux minutes plus tard je paye la consultation, parce que eux non plus ne font pas le tiers payant :-) Trois jours plus tard le pied toujours aussi bleu et aussi endolori et en plus de la fièvre, mon gendre me dépose aux urgences de l’hôpital et je vois le même scénario se reproduire, la dame au portable 2 le retour :-) je la stoppe gentiment, je sors mon portable a moi que j'ai et comme j'avais depuis ma première visite ouvert un dossier sinistre auprès de ma compagnie d'assurance, devant elle je les appelle et je demande a être mis en relation avec le service juridique défense et recours, pendant que j’attends mon contact, je lui explique que vais juste leur signaler le suivi de sa procédure et que s'il m'arrive quelque chose par négligence je déposerait plainte contre l’hôpital. C'est con, mais j'aurais dû faire ça le premier coup, en moins de 5 minutes le toubib a rappliqué, une heure après je passais une écho, dans l'heure suivante j'étais alité et perfusé, et le lendemain matin à 9h15, bloc opératoire. Pas de fracture osseuse, mais arrachement ligamentaire, une gaines et le tendon abîmés, et une infection bactérienne, ils ont aussi retiré un morceau de plastique qui protège la ferraille et des fibres de ma chaussette. ils viennent juste de me retirer le drain, je ne reposerai pas le pieds par terre avant quinze jours mais fin de la galère. C'était mieux avaaant :-)

Gauloisjesuis avait prétendu :

Tous mes voeux de rétablissement définitif !

Dans le même domaine, j'ai fait une toute petite chute sur le cul, au jardin. Rien de sérieux, mais je suis tombé avec un mètre à ruban dans ma poche arrière et ça m'a fait très mal.

Si bien que le lendemain soir : urgences, à 20 Km de là. L'infirmière régulatrise d'entrée (qui se prend pour un médecin) me dit d'un ton péremptoire "salla d'attente".

Et là, couché sur le carrelage de la salle, j'ai attendu de 19H à 2H du matin ! Enfin j'ai pu voir un médecin qui s'est tout de suite affolé et a mobilisé l'hopital :il y avait même des profs !

Piqures, perfusions et enfin un lit. Ils m'ont parfaitement guéri en 3 jours.

Ça allait de la nuque aux talons... Attention, image rare.. Tiens, je vais vous faire voir mon cul... .

Jacques DASSIÉ avait soumis l'idée :

La periode Bleue Picasso un peu vieillie

Le 08/01/2023 à 07:01, Jacques DASSIÉ a écrit :

Merci beaucoup :-)

La vaaache ! vous ne vous êtes pas raté dite donc, vous auriez pu vous casser quelque chose, le pire c'est que ça ne les affoles pas plus que ça, les infirmières de régulation ont une approche assez superficielle. je sais que que l’hôpital ça va pas bien, mais j'ai l'impression qu'aux urgences il y a une norme qui est en train de s'installer, tant que le sang ne jaillit pas par saccade, c'est dégages. Quand je me suis présenté, aux urgences de l’hôpital, ver 13h, grande salle d'attente totalement vide, et pourtant c'est quand même un hôpital régional tout neuf en plus, il y avait là trois administratives derrière leurs guichets vitré, qui papotaient entre elles, elle ne m'avaient pas l'air saturées de boulot non plus. je ne leur reproche pas, elles n'y sont pour rien, c'est juste un constat, parce qu'à la maison de la santé c'était les conditions totalement opposées, c'est pas très clair tout ça, mais bon .....

Voilà sur quoi j'ai marché :

vous souhaitant aussi un bon rétablissement.

Le 08/01/2023 à 10:33, bp a écrit :

Nooon ! :-)))