Essais de traction - mesures USB

le mercredi 5 janvier 2011 21:35, s'est penché sur son écritoire numérique:

Ce n'est pas vraiment adapté sauf éprouvettes longues dans des matériaux a grand allongement. Tu peux tenter le coup mais le cout va te surprendre. Tu devrais te pencher plus sur les jauges de contraintes, elles sont faites pour ça.

La résolution physique doit être x 4 avec un OU exclusif sur les signaux A et B pour avoir la résolution maxi donnée par le fabricant. Les sous programmes existent un peu partout pour gérer ça avec la détection de sens de déplacement.

Quels matériaux, tes éprouvettes?

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http://www.youtube.com/watch?v=n0vMqRV2cqo
    Philippe Vessaire  ??
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Philippe
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On Jan 5, 8:57 pm, jj

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Tu ne confonds pas Vishay avec Vichy ? ;o)

A moins que la mesure ne se fasse par changement infinit=E9simal de la temp=E9rature du mat=E9riau qui est soumis =E0 l'effort, ou par une mesure via lumi=E8re polaris=E9e ou autre technique plut=F4t sophistiqu=E9e pour un amateur, en g=E9n=E9ral une contrainte m=E9canique implique bien un d=E9placement, qu'il soit lin=E9aire ou angulaire, et m=EAme s'il est minime ... as-tu un contre-exemple ?

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Jean-Christophe

On Jan 5, 9:18 pm, Philippe

Philippe, les senseurs que tu as cit=E9 sont bien de la m=EAme famille que ceux auxquels je pensais. Ceux que j'ai utilis=E9 (vers 2004) provenaient d'un autre constructeur mais je n'ai plus aucune r=E9f=E9rence.

Dommage, j'ai justement un stock d'aspirine =E0 port=E9e de la main : l'appui id=E9al pour ce genre de th=E9orie.

Hum ... personnellement je peux te citer un cas int=E9r=E9ssant d'un =E9l=E9ment lin=E9aire soumis =E0 moult pressions et torsions, m=EAme si c'est plus de la biologie que de l'=E9lectronique ;o)

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Jean-Christophe

le mercredi 5 janvier 2011 23:03, Jean-Christophe s'est penché sur son écritoire numérique:

Cite, ne te retiens pas!

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http://www.youtube.com/watch?v=n0vMqRV2cqo
    Philippe Vessaire  ??
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Philippe

le mercredi 5 janvier 2011 22:33, Jean-Christophe s'est penché sur son écritoire numérique:

Et quand c'est linéaire, c'est directement lié par un c½f propre a chaque matériau: le module de Young. C'est d'ailleurs la méthode de mesure de ce c½f que permet le test de traction avec mesure des forces et des déplacements.... Je retourne au labos de l'école en 75-76, là.

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http://www.youtube.com/watch?v=n0vMqRV2cqo
    Philippe Vessaire  ??
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Philippe

"jj" a écrit dans le message de groupe de discussion : 4d24cd23$0$32442$ snipped-for-privacy@reader.news.orange.fr...

Ceci peut-être ?

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Jean-Roger

le jeudi 6 janvier 2011 08:42, Jean-Roger s'est penché sur son écritoire numérique:

le 1/100 de mm mini est trop grand pour ce genre de mesure. En fait, surtout si la machine utilise de petites éprouvettes, il faut penser a bien moins pour cette mesure.

Et c'est sans compter avec les problèmes de glissement au niveau des fixations de l'éprouvette. C'est une des raisons de l'usage des capteurs collés que sont les jauges de contrainte. J'ai pratiqué il y a longtemps et les perturbations de mesure sont nombreuses. Pour les résultats diffusés par les vendeurs de métal, la vitesse d'application de l'effort sur l'éprouvette est aussi normalisée mais nous sommes loin de la demande initiale. Dans le cas des composites, une seule règle: démerdes toi !

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http://www.youtube.com/watch?v=n0vMqRV2cqo
    Philippe Vessaire  ??
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Philippe

Philippe a =C3=A9crit :

=A9critoire=20

er a=20

es=20

pteurs=20

=20

la vitesse=20

e mais nous=20

Si je me souviens la zone "de traction" est courte. J'ai fais une cam=C3=A9ra CCD lin=C3=A9aire qui permet de mesurer sans co= ntact=20 l'=C3=A9cartement de traits fins pos=C3=A9s sur l'=C3=A9prouvette.

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Richard

le jeudi 6 janvier 2011 12:14, Richard s'est penché sur son écritoire numérique:

C'est probablement la meilleure solution: mesure sans contact. Mais ça ne permet pas l'entrée automatique des données pas le cas, il faut faire la saisie a la main.

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http://www.youtube.com/watch?v=n0vMqRV2cqo
    Philippe Vessaire  ??
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Philippe

Philippe a =C3=A9crit :

critoire=20

contact

as le cas, il=20

Si l'ambition reste raisonnable, dans un premier temps une simple webcam = USB=20 derri=C3=A8re un objectif de microscope fera le travail avec une simple a= nalyse d'image.

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Richard

Le 05/01/2011 22:33, Jean-Christophe a écrit :

Personnellement j'ai travaillé dans 2 sociétés qui ont été successivement racahtées par Vishay, et à chaque fois, j'ai été viré.

Ceci dit, c'est une performance d'^tre viré 2 fois par la même boite...

ca m'a pas laissé des super souvenirs tout ça...

JJ

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jj

Oui, je sais bien tout ça, mais ton film va assez mal supporter un allongement de 1cm. Le jauges de contraintes réagissent à des déformations très faibles.

JJ

Reply to
jj

On Jan 6, 10:47 pm, jj

| Tu ne confonds pas Vishay avec Vichy ? ;o)

Gasp.

Hum, j'imagine. En 25 ans je n'ai pas v=E9cu pr=E9cis=E9ment =E7a, mais d'autres trucs assez glauques aussi. On est rien du tout ... et =E7a sent pire.

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Jean-Christophe

jj, le 1/5/2011 a écrit :

Je ne crois pas, ou alors tout a changé. Une jauge de contrainte (en réalité une jauge de déformation) permet de mesurer la variation de dimension selon une direction donnée. En dupliquant le capteur, on a accès immédiat au tenseur de déformation. Après, c'est comme toujours en métrologie, on mesure ce qu'on ne sait pas à partir de ce qu'on sait. Une jauge de contrainte brute ne coûte rien, ou si peu. L'électronique, pas beaucoup plus, si je me souviens bien c'est une mesure sur un pont de résistances. Ce qui est cher, c'est la mise en oeuvre, de mon temps le collage à l'araldite (destructif) de la jauge sur le matériau. Donc, si vous voulez une balance, vous collez une fois pour toute votre jauge sur une /éprouvette/ connue, ça doit fonctionner comme ça sur la balance à la con qui me dit que que mange trop. Une fois étalonné, le bidule vous indique effectivement une force. Là où c'est plus intéressant mais bien plus onéreux, c'est de mesurer réellement les contraintes *à la surface* d'un matériau. Un réservoir soumis à pression, une aile ou la cellule ou la structure d'un avion. Le problème, c'est qu'à chaque mesure, il faut coller les sondes. En 1974 (~) j'étais à l'ENSAM à Lille, et j'avais vu un projet de fin d'études assez amusant: l'idée était de placer quelques jauges de contrainte dans une fixation de ski et de déclencher une capsule pyrotechnique quand l'effort (torsion, tension sur le tendon, etc.) était décidé inacceptable.

Pour ce qui est de la question initiale, je ne vois pas comment g.bon pourrait coller une jauge de contrainte sur *chaque* échantillon. En revanche, pourquoi ne pas reprendre l'analyse ex-nihilo. S'il veut une grande amplitude de mesure, il serait peut-être efficace de partir sur une double approche:

- mesurer la force pour un allongement donné (maximum) pour les matériaux /élastiques/.

- mesurer l'allongement à une force donnée (maximale) pour les matériaux /peu élastiques/.

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Pierre Maurette
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Pierre Maurette

le vendredi 7 janvier 2011 18:56, Pierre Maurette s'est penché sur son écritoire numérique:

Mais si l'on ne connais rien sur les éprouvettes, on ne peux pas guider.

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http://www.youtube.com/watch?v=n0vMqRV2cqo
    Philippe Vessaire  ??
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Philippe

Tu ne peux pas utiliser la force de traction, celle-ci en zone de rupture n'est pas linéaire avec l'allongement ( parfois des choses bizarres d'ailleurs ) si tu colle ton capteur sur ton éprouvette. Avec un truc étalonné en // sur l'eprouvette mécaniquement ce sera ingérable.

J'avais un machine de labo dans ce genre ( test de tissus ) et la mesure se faisait par comptage de tours de la vis sans fin de traction ( a partir du moto réducteur ), le tout couplé a une jauge de contrainte qui donnait le top de début d'allongement et bien sur la courbe complète de résistance a la rupture. Suivant les types de jauges utilisées les plages de mesure allaient de 100 grammes a

500kg pour l'effort et environ 1/100e mm de précision pour le déplacement.
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JP

D'autres méthodes qui peuvent être utilisées pour une mesure sans frottements électrique ( type potar ) trop sujet a des soucis de fiabilité.

Capacitive : Capa entre deux plaques. Inductive : Noyau plongeant dans une bobine et mesure de la frequence de résonance ( comme pour la capa ) Codage optique absolu ou relatif : Utilisé pas mal pendant un temps pour le positionnement des têtes d'imprimantes jet d'encre

Bref tu a le choix, mais direct en usb je ne connais pas produits tout faits.

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JP

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