"Jean-Christophe" a écrit dans le message de news: snipped-for-privacy@b10g2000yqa.googlegroups.com... ... | Ecrire U = R*i - i*dL/dt - L*di/dt | est correct mais insuffisant, | car le circuit électrique n'est pas seul en cause. | Il manque la répartition spatiale des champs, | la circulation dynamique des flux, | l'expression du vecteur de Poynting, | tenir compte du potentiel vecteur, | de l'influence des propriétés des métaux utilisés, | etc ... ...
Je t'attends pour la réponse.
Surtout sur ton utilisation du "vecteur de Poynting", tant il est sûr qu'on a un gros rayonnement électromagnétique :-) ! Et je vais même t'alléger la tâche : si tu utilises le potentiel vecteur, tu n'as plus besoin d'utiliser les champs, tu vas t'éviter du boulot.
... | Balancer des vannes n'apporte rien.
C'est que tu n'as pas le sens de l'humour.
| Construis un moteur Steorn, fais des mesures,
Encore pris en flagrant délit de donner des leçons...
Ce qui m'intéresse, ce n'est pas vraiment le moteur, il a déjà été réalisé en plusieurs exemplaires, c'est le principe de base permettant de comprendre ce qu'on observe et les mesures. Je n'ai eu aucun besoin de moteur quand j'ai vérifié qu'il n'y a effectivement pas de fem induite dans la bobine toroidale quand l'aimant passe, même en saturant la ferrite, et donc que c'est bien la variation de la perméabilité qui permet au moteur de fonctionner, et non l'effet classique d'un champ de fuite de la bobine sur l'aimant. Je n'en ai pas eu besoin non plus quand j'ai vérifié que la saturation transversale de la ferrite n'a quasiment pas d'influence sur la saturation vue par la boine, qui elle est le long du tore... Ce que je cherche c'est l'explication à ce qui est déjà observé : aux mesures qu'on faites Steorn et un autre, pourquoi il n'y a pas de fcem malgré des variations de flux, comment le couplage se fait entre le champ de la bobine et l'aimant via le matériaux de la ferrite... Si j'ai des pistes, j'ai le matériel pour tester (au moins jusqu'à un certain degré de précision).